CEP Lorient. Deux passages dans l'élite Un seul club breton a connu le plus haut niveau : le CEP Lorient, qui a effectué deux passages dans l'élite masculine, dans les années 50 d'abord, puis à la fin des années 80. C'est dans l'immédiat après-guerre que
CEP Lorient. Deux passages dans l'élite Un seul club breton a connu le plus haut niveau : le CEP Lorient, qui a effectué deux passages dans l'élite masculine, dans les années 50 d'abord, puis à la fin des années 80. C'est dans l'immédiat après-guerre que :
CEP Lorient. Deux passages dans l'élite
Un seul club breton a connu le plus haut niveau : le CEP Lorient, qui a effectué deux passages dans l'élite masculine, dans les années 50 d'abord, puis à la fin des années 80.
C'est dans l'immédiat après-guerre que le CEP Lorient a réalisé sa première ascension jusqu'au firmament du basket français. «En 1947, l'abbé Laudren, fondateur du CEP Lorient, était allé chercher deux Lettons dans un camp de prisonniers en Allemagne», se souvient Claude Thibault, qui fut président du CEP pendant plus de deux décennies. A l'époque, il était joueur et coéquipier des fameux Zebelins et Lusards, qui hissèrent pour une saison, «en 1951-52 ou 1952-53» le club lorientais au sein d'une élite dénommée «championnat fédéral». Retombé dans l'anonymat par la suite, le club lorientais allait connaître une nouvelle ascension au début des années 80 : en trois ans et autant de montées consécutives, il passait de la N4 à la N1, franchissant la dernière marche en 1985 sous la houlette de Jacky Quinio. L'aventure, riche d'une quatrième place la première année, d'une affluence moyenne de 2.650 spectateurs et des exploits des O'Brien, Lockett et autres Pope, durera cinq saisons. En 1990, le club est rétrogradé en N1B. Un an plus tard, le dépôt de bilan de la section professionnelle sonne le glas d'une aventure qui aura tout de même permis à Lorient de se doter d'une belle salle omnisports... désormais sous-employée. Les basketteurs du CEP, eux, reçoivent de nouveau dans la salle Brisset... construite par les joueurs des années 50.Un match CEP - Racing Paris le 23 novembre 1986 devant plus de 2.000 spectateurs.
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