CEP LORIENT BASKET BALL DE 1934 A NOS JOURS

CEP LORIENT BASKET BALL DE 1934  A  NOS JOURS

PRESSE DU WEEK-END 10/11 AVRIL

N3M. CS Betton - Cep Lorient, samedi (20h) Praud: «Ce serait héroïque!»

8 avril 2010

Le coach du Cep Lorient, Johann Praud, se livre avant la rencontre cruciale de samedi (20h) à Betton, où seul le vainqueur se maintiendra en Nationale 3.

Johann Praud, comment se déroule cette dernière semaine d'entraînement? «La concentration est maximale, nous travaillons au plus précis et ne déplorons aucun blessé. Mais, surtout, avec le staff, nous donnons le maximum d'informations aux joueurs sur l'adversaire.» Lesquelles? «Par exemple que Betton jouera surtout sur le défi physique. Qu'il y aura très certainement une défense en ?homme à homme? durant quarante minutes, comme ils l'ont fait à l'aller.» Ce match, bien sûr, est assez particulier. Avez-vous déjà vécu cela dans votre carrière de joueur ou d'entraîneur? «En tant qu'entraîneur, à Saint-Nazaire, nous avions eu un match du même tonneau à quatre journées de la fin, que nous ne devions absolument pas perdre. Nous avons gagné, et même remporté les trois suivants.» Voilà qui ressemble fort à cette rencontre gagnée à Avrillé, le 13mars dernier... «Si la fin de l'histoire pouvait être aussi belle! De toute façon, cette rencontre à Betton est totalement folle, excitante, passionnante... Et pour le Cep, ce serait héroïque de gagner et de se maintenir contre cette équipe qui était devant durant tout le championnat.» Qui aura la pression? «Betton. Parce que le Cep revient de loin et que Betton joue à domicile. Une pression qui sera un élément à prendre en compte, même s'il peut y avoir plusieurs scénarios possible: cela peut-être une grande soirée d'attaque, avec une fin très serrée, ou alors un match vite réglé, avec une des deux équipes qui s'écroule rapidement. Mais, au final, voilà un match particulièrement indécis.» Justement, si vous n'étiez qu'un simple spectateur avisé, auriez-vous un favori à donner? «Je ne peux pas répondre mais, en revanche, quand je pose la question à mes collègues entraîneurs de cette poule E, ils me répondent souvent que Lorient développe un basket plus riche que celui de Betton, et plus intéressant à voir. Toutefois, ils mettent aussi en avant notre manque d'agressivité. Nous jouons un basket trop ?gentil?.» Cette situation est-elle préjudiciable pour le recrutement de la saison 2010-2011? «Evidemment. Les équipes déjà maintenues ont commencé des approches. Ne pas savoir si nous serons N3 l'an prochain est un handicap. Mais, tout de même, je suis sur une piste très, très intéressante pour un n°3. Mais celle-ci ne pourra se concrétiser que si nous nous maintenons... » Si tel n'est pas le cas, est-ce vraiment préjudiciable pour le projet du club? «Economiquement, sans doute, mais sportivement, non. On a déjà vu des clubs descendre d'une division pour ensuite mieux remonter et arriver au bout de leur objectif. Mais ne parlons pas de descente. Samedi, on va oublier le match aller. On va se maintenir... et rendre la monnaie!» Propos recueillis par Pierre Bernard


N3M. CS Betton - Cep Lorient, samedi (20h) Praud: «Ce serait héroïque!».
Johann Praud: «Cela peut-être une grande soirée d'attaque, avec une fin très serrée, ou alors un match vite réglé, avec une des deux équipes qui s'écroule rapidement»

N3M. CS Betton - Cep Lorient, ce soir (20 h) Sueurs froides

10 avril 2010

Ce soir, dans l'Ile-et-Vilaine, seul le vainqueur de la confrontation entre Betton et Lorient survivra en Nationale 3. Un vrai suspense, pour un vrai match de basket-ball.

Dans le genre scénario improbable et épilogue à suspense, on peut difficilement faire mieux. Ce soir, la fièvre du samedi soir enivrera la salle de La Touche, avec, dès l'entame de ce match couperet, de belles sueurs froides pour l'une des deux équipes.

Un combat physique

Car ce soir, dans cette «mort aux trousses» version HD, un groupe entier chutera dans l'anonymat de la régionale quand l'autre sera sauvé des eaux, au terme d'un match qui pourrait bien dépasser le temps initial. «Il pourrait en effet durer plus de 40 minutes. Dans ce genre de soirée, les prolongations ne sont pas rares», prévient Johann Praud, l'entraîneur des Cépistes, qui dans l'enfer de La Touche (800 fidèles y sont attendus!) pourront compter sur une bonne cinquantaine de supporters lorientais. Des Cépistes qui devront d'abord résister au défi physique imposé par une équipe de Betton qui a bâti sa réputation sur une défense individuelle aussi suffocante que le scénario de «Psychose». «L'homme à homme est leur grande force. A l'aller, ils nous avaient imposé ce style de défense très agressive durant toute la partie», se souvient l'entraîneur morbihannais, qui espère que la dynamique actuelle du CEP Lorient pèsera dans la balance. «Notre dynamique est intéressante, nous restons sur deux victoires consécutives, quand Betton reste, lui, sur deux défaites. Et l'on sait que dans ce genre de soirée, le mental peut faire la différence». Epilogue de ce 22e et dernier épisode de la saison, ce soir, aux alentours de 22heures. Avec, une seule certitude à l'heure de ces lignes: ce soir, dix gars couleront sur le parquet toutes les larmes de leur corps. Et dix autres, une caisse de champagne entière. Pourvu qu'elle provienne d'un des nombreux cavistes de la cité aux cinq ports...


N3M. CS Betton - Cep Lorient, ce soir (20 h) Sueurs froides.
Samuel Glemot et les Cépistes devront résister au défi physique imposé par l'équipe de Betton. Photo Jean René

N3M. Betton - CEP Lorient : 65-71 Le CEP sauve sa tête

11 avril 2010

Dans une ambiance de folie, le CEP est venu arracher son maintien au bout d'une rencontre âpre, disputée, mais surtout très correcte. Une issue logique pour le collectif de Johan Praud, plus complet, plus cohérent, et tout simplement meilleur, hier soir.

Les Lorientais ont eu rapidement toutes les cartes en mains, à Betton. En provoquant sans cesse en un contre un dans le jeu intérieur, ils ont occasionné de gros dégâts chez leurs adversaires (20fautes à la pause pour Betton). A force de laisser traîner les mains, les hommes de Patrice Sclear ont donc été contraints et forcés de jouer contre nature et de passer en zone. Ils ont dû aussi se priver des services de leur emblématique capitaine, Christophe Michelet, lequel faisait ses adieux à l'occasion. Heureusement, serait-on tenté d'écrire pour les Lorientais car Michelet avait eu la main particulièrement chaude à l'occasion des dix premières minutes prolifiques (13points pour lui pour un score de 29-26).

Betton sévèrement sanctionné!

Au cours des déboires bettonnais, Johan Praud avait fait tourner son effectif. Trop peut-être car la cohésion offensive avait laissé à désirer par instant. Le coach lorientais s'était même offert la gageure de laisser Simon Le Prado sur la touche face à la zone adverse. Etonnant d'un côté, mais pas d'un autre, puisque ses protégés s'étaient retrouvés menés au score contre toute attente au repos (45-43).

La peur s'installe

Mais, comme il fallait s'y attendre, Betton devait desserrer l'étreinte lors du troisième acte. Et, paradoxalement, le CEP n'en profitait pas. Certes, sous la conduite de Florian Pouxviel et de Hiro Rota, les Merlus passaient en tête, mais sans vraiment dominer leur sujet. Bizarrement, ils ne provoquaient plus les Bettonnais. Une aubaine pour ces derniers qui s'accrochaient vaille que vaille. Et, même lorsque Le Prado offrait neuf points d'avance à ses couleurs à trois minutes de la fin (58-67), Michelet sortait les crocs et ramenait les siens à quatre points. La peur semblait s'installer dans les têtes lorientaises, surtout chez Rota, qui ratait trois lancers-francs du money-time. Mais, fort logiquement, le gain de la partie tombait dans l'escarcelle lorientaise. Pierre-Marie Dréano clôturait la saison. Il était temps alors d'entrer dans la danse. Evolution des quarts-temps: 29-26, 45-43, 55-58, 65-71. BETTON: 26 tirs réussis sur 58, dont 6 sur 18 à trois points; 7 lancers-francs sur 11; 28 fautes. Renault (10), Michelet (16), Sané (5), Michel (10), Paisley (4), Boré (8), Bachy (6), Dessier (4), Chevrier (2). CEP LORIENT: 24 tirs réussis sur 53 tentés, dont 5 sur 17 à trois points; 16 lancers-francs sur 28; 18 fautes. Le Prado (18), Dréano (9), Blinding (4), Leborgne (5), Pouxviel (8), Rako (1), Sahun (7), Rota (10), Mouangué (4), Glémot (4).

N3M. CS Betton - CEP Lorient (65-71) CEP extra !

12 avril 2010

Ils l'ont fait! Samedi, les Lorientais ont vaincu le CS Betton au terme d'un match incroyablement passionnant, renouvelant ainsi leur bail en Nationale 3.

De l'ombre à la lumière, du rêve à la réalité, de la zone rouge à la vie en rose. Acculé dans le wagon des relégués depuis la 10e journée et une piteuse sortie à La Similienne, le CEP Lorient a donc quitté le train en marche à la 880e et dernière minute de la saison, samedi, dans la rutilante salle du CS Betton.

Meilleure défense du championnat!

«Un véritable exploit», dira d'abord, d'une voix empreinte d'émotion, le président Robert Monot. «Un pur bonheur, un moment complètement fou pour sceller une année complètement folle», complétera ensuite, dans un sourire extatique, Eric Rakotondrasolo, qui dans cette dégoulinade de joie aura finalement vécu le triomphe du fond du banc, poche de glace et gel d'arnica posés sur sa cheville toujours endolorie. Un triomphe aux allures de chevauchées fantastiques pour cette équipe qui, pour s'en sortir, dût piquer un sprint olympien dans les vicissitudes de cette fin de saison, signant quatre succès consécutifs lors des quatre dernières journées. Réguliers comme les crépitements d'un appareil photographique depuis l'équinoxe du printemps, les Lorientais ont donc broyé la mine des pronostiqueurs et déjoué les plans de leurs adversaires, marquant du sceau de la défense chacune des rencontres. Samedi soir, les statistiques ont d'ailleurs parlé: en encaissant 65 points, l'équipe morbihannaise s'est élevée au rang de meilleure armure du championnat, encaissant, en moyenne, 72points par rencontre. «L'objectif, samedi, était bien évidemment de gagner pour se maintenir, mais aussi de terminer meilleure défense du groupe. A Lorient, c'est presque une tradition, et c'était aussi un remerciement à Christophe Gicquel», avouera Gauthier Le Borgne. Mais samedi, le CEP a surtout écrit une nouvelle page de son histoire, «qui nous permet de poursuivre notre projet», confiait Robert Monot, les yeux rougis par le bonheur.

Un acte de naissance

Malgré son étiquette de plus petit budget de cette poule E, avec 90.000 euros dans les poches, le CEP Lorient entame désormais un nouveau virage, avec davantage de certitudes que de craintes. «L'an prochain, les mutés de cette saison pourront être titularisés à chaque rencontre. On sait aussi que le staff recrutera de nouveaux joueurs, et que l'on sera donc plus fort», explique Eric Rakotondrasolo, qui rappelle que les grandes équipes naissent dans la difficulté et l'exploit. L'ABCEP est mort un soir de juin1992, le CEP est donc né un soir d'avril2010. Au forceps et par césarienne, sous la lumière crue de la salle bettonnaise comparable à celle d'un bloc chirurgical. Son premier cri fut strident et de joie, et a duré «toute la nuit, dans toutes les boîtes de nuits de la ville» s'esclaffaient, hier au téléphone, Dréano et ses partenaires, désormais installés pour de bon dans le berceau de la N3. Des jeunes basketteurs qui ne demandent désormais plus qu'à grandir.


N3M. CS Betton - CEP Lorient (65-71) CEP extra !.
Toute la joie du CEP Lorient qui a bien mérité de chavirer de bonheur. Photo DR

CEP Lorient Avec l'expérience d'un Praud

Le triomphe du patronage lorientais est aussi celui de Johann Praud, arrivé à la hâte pour diriger une troupe d'adolescents en manque d'expérience. Il fait partie de ces hommes qui pensent que l'espoir, c'est le pouvoir. Sous sa coupe impeccable brossée, lui conférant une allure quasi-professorale, Johann Praud s'est fait remarquer cette saison par son optimisme sans faille, quand ses joueurs eux-mêmes ne voyaient pas le bout du tunnel.

«Il nous a offert le maintien»

«Je suis comme cela. Je suis un éternel optimiste, dans la vie privée comme sur un terrain de basket-ball», avoue l'intéressé, qui lors des jours sombres déployait les mêmes discours à la presse locale: «On y arrivera. Vous verrez, tout cela se terminera avec des sourires, même s'il faut attendre le dernier match à Betton», confiait-t-il au soir de la défaite à Rennes, en décembre dernier. D'une voix qui ne s'est jamais penchée vers l'octave inférieure, Praud a donc délivré son message d'optimisme de la première à la dernière journée, galvanisant ses joueurs qui aujourd'hui lui rendent un bel hommage. «Si nous sommes là aujourd'hui, c'est grâce à lui. Johann nous a offert le maintien. A un moment de la saison, on n'y croyait plus vraiment, mais lui n'a cessé de nous dire que c'était possible», juge aujourd'hui Eric Rakotondrasolo, suivi par Pierre-Marie Dréano. «Il nous a vraiment aidés à grandir. Si, samedi, on était aussi serein, c'était grâce à son discours».

«L'homme de la situation»

Tout au long de la saison, Praud a donc cru en son équipe comme un fidèle en sa religion. Même coincé dans l'étouffoir de la zone rouge, «quand nous n'étions qu'à trois succès à la fin de la poule aller», se souvient-il. «Je pense que mon expérience m'a servi dans ces moments difficiles. J'ai vécu plus de dix ans en Nationale 3, et je connais par coeur cette division, des Pays-de-la-Loire jusqu'à la Bretagne», explique celui qui a toujours baladé son sourire dans les entrailles de la salle Brisset, bluffant même, parfois, ses dirigeants. «Il est presque trop optimiste!», rigole aujourd'hui son président Robert Monot. «Il a fait un sacré boulot. C'est l'homme de la situation, l'homme avec qui on peut construire quelque chose de beau».


N3M. CS Betton - CEP Lorient (65-71) CEP extra !.
Le coach Johann Praud (à droite) aura délivré son message d'optimisme de la première à la dernière journée, galvanisant ses joueurs

Lorient se maintient, Betton descend - Finistère

dimanche 11 avril 2010


Les Bettonnais se sont inclinés face à des Lorientais plus adroits, qui décrochent ainsi le maintien.</P>

 

N3M. Betton - Lorient : 65-71. Dans un match à quitte ou double, et dans une salle surchauffée, Betton s'est logiquement incliné en seconde période.

Dans ce match décisif pour le maintien, Betton ne semble pas se laisser prendre par l'événement, à l'image de Michelet, capitaine à la main brûlante à 3 points. Le duel entre Michel et Rota annonce même la couleur d'une partie que l'on devine acharnée. Légèrement devant au score en fin de 1 er quart, 29-26, Betton domine par contre largement son adversaire au nombre de fautes commises. Bien menés par Pouxviel, les Lorientais démontrent de leur côté une adresse impressionnante au lancer franc. Au repos les deux formations sont roue dans roue et donc toujours en course pour le maintien (45-43).

Si le début de la seconde période est toujours aussi accroché, les locaux perdent peu à peu le fil de leur jeu collectif alors que Lorient, en revanche, fait circuler le ballon de manière fluide autour de Le Prado et Dreano. Malheureusement pour eux en ayant perdu leur adresse extérieure, les Lorientais ne profitent pas totalement de leur domination au moment d'aborder la dernière ligne droite. Plus armés, et plus engagés dans les raquettes, ils dominent également la bataille des rebonds.

Rattrapé par l'importance du match, Betton cafouille son basket mais joue pourtant sa chance jusqu'au bout à l'énergie. Malheureusement pour eux, menés de 4 points dans la dernière minute, à l'heure où chaque possession compte pour tous les efforts d'une saison, ce sont leurs adversaires qui auront affiché le plus de maîtrise, obtenant ainsi ce qu'ils étaient venus chercher.

BETTON - LORIENT : 65-71

(29-26, 16-17 10-15 10-13).

Arbitres : MM. Le Hir et Troadec.

BETTON : Renault 12, Michelet 16, Sane 5, Michel 8, Paisley 4, Bore 8, Bachy 6, Dessier 4, Chevrier 2, Le Moal.

LORIENT : Le Prado 17, Dreano 9, Blinding 4, le Borgne 5, Pouxviel 8, Rakotonvrasolo 1, Sahun 7, Rota 10, Mouangue 4, Glemot 6.

Le CEP Lorient peut respirer - Morbihan

lundi 12 avril 2010


 

N3M. Betton - Lorient : 65-71. Les Lorientais ont obtenu leur maintienen N3 samedi dans la salle de Betton.

L'affaire était pourtant déjà presque réglée. Dès le retour des vestiaires, on avait senti les visiteurs prendre l'ascendant sur une formation de Betton alors rattrapée par l'enjeu. L'affaire était bien engagée donc, mais le dernier panier du match inscrit par Dreano venait souffler comme un mélange de joie et de soulagement chez les hommes de Johann Praud. Juste après le soulagement, ce dernier se montrait même beau joueur au moment de savourer le maintien : « on est vraiment heureux. Après on ne va pas non plus fêter ça outre mesure ici. Il faut rester humble et respecter l'adversaire qui est triste ce soir ».

Triste, le CS Betton l'était forcément. Mais les morbihannais, venus par ailleurs accompagnés de nombreux supporteurs, n'ont jamais vraiment semblé avoir peur et ont, collectivement, affiché une maîtrise constante. Johann Praud toujours : « c'est vrai que tout le monde a participé à la victoire. C'est une des forces de l'équipe. À la différence de Patrice Sclear, (entraîneur de Betton), c'est vrai que j'ai pu faire tourner sans diminuer l'équipe, ça nous a permis d'avoir de la fraîcheur en fin de match ».

Une fin de match plutôt maîtrisée, en grande partie grâce à une présence défensive importante et à une décision arbitrale transformant la dernière possession locale en passage en force. Ce qui ne manquait pas, d'ailleurs, de renforcer la frustration adverse. Pour l'entraîneur de Lorient, si cette rencontre « n'avait rien à voir avec notre défaite du match aller qui s'était terminé à treize fautes à quatorze, et après laquelle j'ai d'ailleurs toujours dit qu'il faudrait venir chercher le maintien ici, mais je ne pense pas que les arbitres nous aient avantagés dans cette rencontre ». Plus d'homogénéité, plus de maîtrise dans la circulation du ballon et plus de calme dans les moments importants, à l'image de Gregory Tahon l'entraîneur adjoint, les Lorientais ont donc réussi l'essentiel. Et ont réglé l'affaire au bon moment.

BETTON - LORIENT : 65-71

(29-26, 16-17, 10-15, 10-13)

BETTON : Renault 12, Michelet 16, Sane 5, Michel 8, Paisley 4, Bore 8, Bachy 6, Dessier 4, Chevrier 2, Le Moal. Entr. P. Sclear.

LORIENT : Le Prado 17, Dreano 9, Blinding 4, Le Borgne 5, Pouxviel 8, Rakotondrasolo 1, Sahun 7, Rota 10, Mouangue 4, Glemot 6. Entr. J. Praud.



21/04/2010
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