Prénationale masculine Le nouveau challenge du CEP Lorient
Prénationale masculine Le nouveau challenge du CEP Lorient
Les avaries passées sont oubliées pour le navire cépiste, qui veut
retrouver les eaux nationales. Vendredi dernier, la nouvelle équipe
s'est réunie.
« Chaque année est un nouveau challenge ». « Oui, et cette
année, il y en a un très beau à venir. » Vendredi soir, après l'AG du
club, la petite discussion entre le Général Brisset, chef du patronage,
et l'Amiral Gicquel, nouvel homme fort de l'équipe première, mesurait
bien toute l'importance du prochain exercice. C'est vrai que le navire
morbihannais, qui en l'espace de trois signatures s'est transformé en
paquebot de luxe (insubmersible ?), semble amorcer un nouveau virage,
avec, sur la feuille de route, l'ambition de retrouver le haut niveau.
Doucement, mais sûrement.
Rendez-vous le 10 août
« J'ai repris le club en 2001 quand il était encore en N3.
L'objectif est d'y retourner, et de l'emmener pourquoi pas, encore peu
plus haut ». Le mot « N2 » sera plus tard timidement lâché, mais le
sympathique président Monot ne cache pas ses ambitions. Avec l'arrivée
des "Ploemeurois", le nouvel équipage pour l'exercice 2007-2008 semble
bâti pour la première partie de tableau en PN1. Voire même mieux ? «
Attention, nous nous donnons tout de même deux à trois ans avant
d'atterrir en N3. Vous avez vu la poule de PNM l'an prochain ? »,
nuance Christophe Gicquel.
Pour les moussaillons lorientais, les vacances seront courtes, la
reprise est déjà prévue pour le 10 août. Coordonnées de ses nouveaux
joueurs en main, l'ancien Ploemeurois semble en tout cas heureux de se
retrouver dans l'antre du CEP, club qui, gamin, lui a fait oublier le
football pour un cuir plus orangé.
« Vivement
que ça commence »
Après de nombreuses chutes et rechutes, voilà donc l'ancien club
phare relancé sur de bonnes bases, après avoir, ces dernières saisons
et sous l'ère Le Ligeour, reconstruit son image et son jeu. Sans aucun
doute, certains n'en sont bien évidemment pas convaincus. Il est vrai
qu'avec le temps, le public s'est habitué à toutes ces promesses
vertigineuses sans finalement rien avoir à croquer sous la dent.
Pourtant, cette fois-ci, quelque chose nous dit que l'on devrait enfin
vivre de jolis moments au CEP. En tout cas, des supputations ou des
pronostiques, Hiro Rota n'en a cure : « Vivement que ça commence, c'est
tout ! A découvrir aussi
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